Le Flapeau droppe toujours, mais jusques à quand ?

Le Flapeau droppe toujours, mais jusques à quand ?

 

 

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Alors que, de plus en plus découragé, le flapeau  continue par vents et marées à  dropper sur la maison, comme en témoigne cette photo prise au lever du jour ce samedi 23 octobre 2010 ,

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Je formule  deux propositions  sérieuses :

 

La  première est que les medias s'interdisent désormais tout reportage en direct quel qu'il soit concernant les allées et venues de notre petit, très petit, monde politique : plus aucune photo, plus aucune image ou video, plus la moindre intervieuw, plus aucun reportage. Rien. Le vide  médiatique complet. L'abstinence forcée pour tous ces forçats de l' apparence/apparition.

Le Travail à faire   pour trouver un avenir au Pays est immense, paraît-il, et on le croit volontiers.

Que tout le temps soit ainsi consacré à ce travail, le gain de temps sera énorme.

La manière d e travailler et sans aucun doute les résultats seront meilleurs.

Les vraies natures par ailleurs  se révéleront  : dans les deux sens.

Les Hommes d  Etat avanceront,  la mauvaise herbe déssechera bien vite.

En contrepartie, car les citoyens doivent être informés, une fois par semaine un Collège de journalistes, connus pour leur sérieux, leur intelligence, leur perspicacité (  bon d'accord, c'est alors de ce côté-là que risquent d'éclater les egos que l'on a fait taire d e  l'autre côté...) rédigeront un résumé de ce qui s'est passé, un texte sans photo, le plus court possible et le publieront conjointement, dans les trois langues, dans tous les journaux du Pays sans aucune distinction.

 

 

 

La seconde sera que tous les citoyens, les actifs et les non actifs, les jeunes et les moins jeunes, étudiants, salariés, indépendants,  bloquent  tout le Pays en arrêtant toute activité  pendant un jour, pour la 1ère fois, mais éventuellement deux jours s'il faut une seconde fois et ainsi de suite, les coitoyens vont utiliser la seule manière de se faire collectivement entendre en une seule fois : paralyser le Pays comme avertissement au monde politique.

 

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Commentaires

Comme je partage cet avis cher Jacques !

Comme nous sommes souvent frileux quant il s'agit de défendre les choses essentielles...mais savons nous encore ce qu'elles sont; dans ce tumulte médiatique,ces rapports de forces et d'argent, plutôt que de leur donner notre pouvoir, montrons leurs le vrai pouvoir de l'union des coeurs!

Julia.